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Sarcome associé aux vaccins chez les chats
Votre ami à quatre pattes, votre chauffe-tour, votre bébé en fourrure ou votre meilleur ami : votre chat est plus qu’un animal de compagnie, il fait partie de votre famille. C’est pourquoi nous commençons les vaccinations dès l’âge de six semaines. De la rage à la leucémie féline, nous acceptons toutes les vaccinations pour que nos bébés restent heureux et en bonne santé le plus longtemps possible.
Mais que se passe-t-il lorsque les vaccins font plus de mal que de bien ? Les propriétaires de chats doivent s’informer sur les risques liés à la vaccination de leurs chats. Malheureusement, les vétérinaires ne tiennent pas compte de tous les faits lorsqu’ils préconisent des vaccinations inutiles.
Il est incontestable que les vaccins sauvent des vies, mais aucun vaccin n’est sûr à 100% non plus. Vaccinez votre animal en fonction de votre niveau de confort. Voici notre histoire pour sensibiliser aux sarcomes associés aux vaccins et pour encourager les propriétaires de chats à ne pas sur-vacciner aveuglément leurs chats.
L’histoire de Pepite
Pepite, notre Bobtail français de trois ans, a passé son examen annuel il y a trois mois et a été vacciné contre la rage, le FVRCP et la leucémie féline. Tout allait bien jusqu’à ce que nous revenions de vacances de cinq jours à la mi-septembre et que nous trouvions notre bébé plus léthargique que la normale et d’un poids nettement insuffisant. Pepite est toujours très vocal puisqu’il est un Bobtail français et à notre surprise, il a pleurniché alors que nous lui faisions une pléthore de câlins. En caressant Pepite, j’ai presque immédiatement senti une bosse de la taille d’une noix sur sa jambe arrière gauche. Nous avons paniqué et avons appelé le vétérinaire pour prendre rendez-vous afin de le faire examiner.
Quelque 900 euros plus tard, après deux rendez-vous, un diagnostic et l’orientation vers un spécialiste, nous lui avons dit qu’il avait un sarcome associé aux vaccins ou SVA. Aucun propriétaire d’animal ne veut recevoir cette nouvelle : votre bébé a une tumeur maligne invasive, une tumeur causée par le vaccin même qu’on vous a dit de lui donner pour le protéger.
Nous sommes maintenant le 25 octobre et les factures médicales ont dépassé les 3 000 euros, et ce, uniquement pour des tests. Ce week-end, nous avons reçu un appel nous informant que les tests CT sont heureusement revenus et n’ont révélé aucune métastase dans les poumons ou d’autres organes. Cela signifie qu’une “simple” amputation devrait pouvoir lui sauver la vie et lui rendre sa qualité de vie. Nous rencontrons un chirurgien demain pour commencer le processus, car plus nous attendons, plus la tumeur se propage. Je ne veux pas que quelqu’un d’autre ait à vivre ce que nous vivons, alors continuez à lire pour connaître les faits sur la SVA.
Que contient votre vaccin ?
Un vaccin populaire est vendu par Merck Animal Health pour la prévention du FeLV (virus de la leucémie féline). Ce vaccin contient des virus tués qui sont chimiquement inactivés avec un adjuvant pour renforcer la réponse immunitaire. Qu’est-ce que cela signifie réellement ? Cela signifie qu’un produit chimique est injecté à votre chat et qu’il est uniquement conçu pour créer une inflammation au point d’injection afin que le système immunitaire soit alerté de sa présence. L’emballage est accompagné d’un avertissement : “Certains rapports suggèrent que chez les chats, l’administration de certains produits biologiques vétérinaires peut induire le développement de fibrosarcomes au point d’injection”. La plupart des vétérinaires ne transmettent pas cette information au propriétaire de l’animal. Il est donc de notre responsabilité de faire des recherches non seulement sur le vaccin, mais aussi sur la société qui l’a produit.
Qu’est-ce qu’un sarcome ?
Un sarcome est une tumeur maligne très envahissante et agressive qui peut apparaître au point d’injection n’importe où pendant des semaines ou des années après une vaccination. Ces tumeurs ont des vrilles microscopiques qui partent du site principal de la tumeur et s’enroulent autour des vaisseaux sanguins et des muscles, ce qui rend l’ablation très difficile. Si elles ne sont pas complètement enlevées, il y a 70 % de chances que le cancer réapparaisse. La même étude a montré que 97 % des chats traités avaient été complètement éliminés, mais que 14 % avaient eu une récidive et 20 % avaient eu des métastases dans d’autres parties du corps.
Chez Pepite, le sarcome est apparu sur sa jambe arrière gauche au point d’injection et a formé une grosseur de la taille d’une noix. Cette tumeur a considérablement diminué sa qualité de vie en peu de temps. Il est passé d’un chat très câlin qui courait, sautait, mangeait et jouait, à une ombre de lui-même qui est tombée à sept kgs et ne dormait que sur une chaise basse puisqu’il ne pouvait même plus sauter comme avant sans avoir mal.